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14 août 2020 5 14 /08 /août /2020 22:39

6 juillet 2019. J'apprends le matin même, en lisant le supplément Sortir de Télérama, que Rickie Lee Jones joue ce soir-là à moins d'une heure de chez moi, pour un concert gratuit. Cerise sur le gâteau, Charlie Winston sera sur scène après elle. Pas d'hésitation à avoir, j'y vais.
La scène est posée sur le lac, une passerelle la reliant à la rive. Et c'est en barque que les artistes arrivent.
Rickie Lee Jones nous offre un bon moment, en grande dame, s'accompagnant à la guitare et, sur quelques chansons, au piano. J'ai particulièrement plaisir à retrouver We belong together, chanson que j'aime beaucoup. Cependant, son répertoire folk intimiste se prête mieux à l'ambiance feutrée d'une petite salle, comme la Maladrerie Saint-Lazare à Beauvais où je l'avais vue en 2010, qu'à cette scène en extérieur.

Vient ensuite Charlie Winston. Si j'apprécie ses chansons (et particulièrement Dusty men, son duo avec Saule), je ne serais pas forcément allée le voir en concert dans d'autres circonstances. Et pourtant, ce sera une vraie révélation. Beaucoup d'énergie, il a mis le feu ! Il a traversé la passerelle pour venir chanter un titre au plus près du public. Et, clou du concert, son chapeau étant tombé à l'eau, il n'a pas hésité à plonger pour aller le récupérer, et a donc terminé le concert trempé de la tête aux pieds ! Vraiment, un artiste à voir, c'était énorme ! Pour le coup, je retournerais volontiers le voir !

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14 août 2020 5 14 /08 /août /2020 14:15

Pour l'édition 2019 de la Fête de la Musique, j'ai choisi Visages du Monde à Cergy, pour un concert de Barcella.

C'est le duo local Maxime et Julien qui ouvre la soirée (accompagné d'un percussionniste), avec une chanson française "souvent humoristique", selon leur propre description. Une découverte plutôt sympa pour un agréable moment.

 

C'est ensuite un autre groupe local, 7AC, qui se présente sur la scène. Ils nous proposent un reggae avec des textes en français, c'est festif, et je salue le talent du chanteur qui est aussi saxophoniste et flûtiste. Cependant, au bout de quelques titres, je commence à trouver ça long.

 

Enfin c'est au tour de Barcella. Comme à son habitude, il grimpe partout tel un farfadet-poète, et nous transmet son énergie solaire. On tape des mains, on chante, on reprend les chœurs sur Les chevaux sauvages... Un excellent moment avec cependant un bémol, c'était trop court, une heure à peine. J'aurais bien prolongé l'enchantement et la joie plus longtemps...

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11 août 2019 7 11 /08 /août /2019 15:00

L'édition 2019 de Creil Colors, qui a débuté avec Dahbek Dancers (danse palestinienne), puis Old Moonshine Band, Femi Kuti et Louis Bertignac.

Cela débute donc avec Dahbek Dancers. Si leur danse ne m'a pas marquée ni séduite plus que ça, je trouve toujours intéressant de découvrir d'autres cultures et danses traditionnelles. Celle-ci, par certaines gestuelles, se rapproche de la danse orientale, mais avec ses propres spécificités.

Ce sont ensuite les Old Moonshine Band qui se présentent sur scène. Je retrouve avec plaisir leur folk irlandais entraînant, donc les mélodies donnent immédiatement envie de danser. Avec de nombreux instruments (violon, accordéon, contrebasse, planche à laver, banjo, mandoline…), le collectif nous fait passer un excellent moment et nous met des fourmis dans les jambes !

Vient ensuite Femi Kuti. Il nous propose un afrobeat qui là aussi donne envie de bouger. Ce n'est pas forcément mon style musical, mais en live j'apprécie, d'autant qu'il joue du saxo et qu'il est accompagné de nombreux musiciens parmi lesquels une section de cuivres. Sans compter ses choristes-danseuses-percussionnistes qui assurent le spectacle. Il nous offre donc un spectacle complet qui nous permet de passer un bon moment. Et c'est avec fierté que, vers la fin du spectacle, il nous présente son fils qui compte parmi ses musiciens.

C'est Louis Bertignac qui clôt la soirée, en beauté. Alternant les titres de son répertoire (Vas-y guitare, Ces idées-là...) avec ceux de Téléphone (Cendrillon <3  Un autre monde…) et des reprises de titres anglo-saxons souvent adaptés en français (tels While my guitar gently weeps qui devient Et ma guitare joue le blues, Every breath you take également adapté en français, ou Cocaïne qui devient Coquine, cette dernière adaptation me laissant un peu dubitative). Un chanteur guitariste de talent, des musiciens qui en ont tout autant, et son fils Jack, à peine deux ans, qui passera sur scène lui souhaiter Bonne fête papa et nous offrira un mini et mimi solo de batterie. Un bon moment, j'ai beaucoup aimé, et le concert s'est terminé en beauté avec Ces idées-là chanté en bord de scène.
Cette édition 2019 de Creil Colors fut donc une fois de plus une belle après-midi musicale, entre découvertes et artistes reconnus.

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10 août 2019 6 10 /08 /août /2019 21:27

Les Négresses Vertes à Nogent-sur-Oise le 25 mai 2019.

Du groupe, je connaissais peu le répertoire, mises à part les célèbres Sous le soleil de Bodega et Voilà l'été. Appréciant ces deux titres, je n'ai pas hésité à prendre ma place pour leur concert dans une petite salle pas loin de chez moi.
Et ce fut une bonne soirée. Une musique festive et entraînante, qui donne envie de danser, un groupe qui déploie une belle énergie, un accordéon et des cuivres qui sont des instruments que j'apprécie particulièrement, le groupe nous fiat passer un très bon moment.
Parmi les titres interprétés, outre leurs deux plus gros tubes précédemment cités, on a pu entendre entre autres Famille heureuse, Zobi la mouche ou encore L'homme des marais.

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24 mai 2019 5 24 /05 /mai /2019 20:05

Collectif 13 aux Zicophonies à Clermont de l'Oise le 17 mai 2019.

Bien qu'étant arrivée tard puisque j'étais en début de soirée au Palace de Montataire pour Rue Leprest, j'ai cependant pu assister à la fin du set de Positiv' Sight, qui assuraient la première partie. Je les avais déjà vus sur ce Festival en 2011 et 2012, à l'époque ils passaient en deuxième partie de soirée, après les têtes d'affiche, à l'heure où une bonne partie du public était déjà partie. J'avais bien aimé, trouvé ça très sympa musicalement avec notamment la présence des cuivres, mais sans que cela soit un coup de cœur. Cette fois, j'ai vraiment bien aimé, je trouve qu'ils ont très joliment évolué, c'est abouti, professionnel, et je trouve que cette première partie est amplement méritée. Je suis donc heureuse d'avoir pu les revoir, et je les reverrai encore avec plaisir.

Après une courte pause, c'est le Collectif 13 qui investit la scène. Collectif 13, c'est un groupe créé autour de Guizmo (Tryo), qui réunit Mourad Musset (La Rue Kétanou), Gari Gréu (Massilia Sound System), Gérôme Briard et Erwann Cornec (Le Pied de la Pompe), Alee, Syrano, Ordoeuvre, Maxime Raguin (Le P'tit Son), Fred, Mariolle, Danielito (Tryo) et donc Guizmo. Soit un mélange d'artistes issus de groupes de bonne chanson française comme je l'aime, et de rappeurs, style que j'aime beaucoup moins. C'est d'ailleurs par un titre en rap qu'ils attaquent le concert, ce qui m'amène quelques inquiétudes pour la suite car je n'aime pas trop ce premier titre. Inquiétude qui sera vite chassée par les chansons suivantes. Des titres enjoués, interprétés dans la bonne humeur et une très belle complicité entre tous ces artistes, c'est une musique festive, qui fait du bien, qui donne envie de danser et qui vous donne une bonne dose d'énergie positive. Ils ont mis le feu, et le public en a redemandé !
Parmi les titres interprétés, on peut citer : Vivants, La star du rap, La marquise, Rendez-vous, Collègues, Place au soleil, Réseau, Rien à foutre et quelques autres. Et puis ils ont repris Des cigales dans la fourmilière de La Rue Kétanou, pour mon plus grand bonheur puisque c'est la chanson sur laquelle j'ai le plus dansé, sauté, je me suis éclatée.
Je suis donc sortie du concert totalement conquise, en ayant passé une excellente soirée.

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23 mai 2019 4 23 /05 /mai /2019 22:57

Rue Leprest au Palace de Montataire le 17 mai 2019.

Rue Leprest, comme son nom l'indique, c'est un spectacle hommage à Allain Leprest. Il regroupe sur scène François Guernier (alias Tichot, dont j'ai déjà parlé ici) à la guitare et au chant, Caroline Varlet (La Mordue, dont j'ai déjà parlé sur ce blog également) au chant et à l'accordéon, tout deux artistes originaires de l'Aisne, ainsi que Scouilla au beatbox et la comédienne Agnès Renaud.
Le spectacle, à la base destiné au jeune public, plaira aussi aux grands enfants et à tous ceux qui aiment Allain Leprest. La comédienne se met dans la peau de l'enfant qu'il a été. Un récit entrecoupé de chansons qui nous plonge dans l'univers de l'artiste. Côté chansons, des arrangements qui mêlent donc guitare, accordéon et human beatbox, le tout de manière sympathique et harmonieuse, et sans renier l'esprit des chansons.
Côté setlist, nous avons pu entendre, entre autres : Les p'tits enfants d'verre, Arrose les fleurs chantée en duo, S, D, F dans une version slammée, C'est peut-être, Une valse pour rien, Mont Saint-Aignan, Entre Nicole et Nicolas, Je hais les gosses, Le copain de mon père, Tout c'qu'est dégueulasse porte un joli nom, On était pas riche, et quelques autres.
Un très joli spectacle avec une fin en acoustique en bord de scène, pour un très bel hommage au grand artiste qu'était Allain Leprest.

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6 mai 2019 1 06 /05 /mai /2019 22:19

Radio Elvis à La Grange à Musique (Creil) le 13 avril 2019.
En première partie, USS. Le groupe est composé d'un chanteur-guitariste et d'un batteur, et chante en français. Le chanteur a plutôt une belle voix, mais le chant est un peu noyé par la musique. Celle-ci nous offre de belles nappes de guitare sur quelques chansons. Lorsque cela se veut plus rock, cela ressemble davantage à d'autres groupes de rock français, mais plutôt dans la catégorie "rock radio" ou "rock variété", assez basique (peut-être Kyo…) Bref, pas désagréable mais rien de mémorable (surtout que le show qui a suivi me les a faits presque totalement oublier…)

Vient ensuite le tour de Radio Elvis, et ce sera pour moi une vraie révélation scénique. Je les connaissais surtout de nom, bien qu'ayant entendu une ou deux chansons, mais je me doutais que j'allais aimer. J'ai cependant attendu l'après-midi même pour prendre mon billet. Il aurait été dommage que je ne le fasse pas… 
D'entrée de jeu, j'apprécie leur musique, la voix de Pierre Guénard et ses textes, son look de "gendre idéal" avec son pantalon et sa veste assorties, ses guitares joliment décorées… Et ce pantalon parfaitement ajusté qui lui colle à la peau lorsqu'il se déhanche le rend diablement sexy… Mais c'est sur Prières perdues qu'a lieu la révélation. Cette chanson est une totale démonstration scénique dans sa version live (je n'ai pas encore écouté la version studio). Ca démarre en douceur, en piano-voix, et je laisse monter l'émotion, m'attendant à un titre qui va ma coller les larmes aux yeux. Et puis ça monte en puissance, la batterie puis la basse viennent s'ajouter, le refrain répété encore et encore prend de plus en plus d'ampleur et monte en apothéose, Pierre Guénard se lâche alors complètement, c'est fort, puissant, grandiose… avant de se conclure à nouveau dans la douceur et l'émotion sur la toute fin. Superbe performance, je suis totalement conquise. Sans compter que le chanteur est descendu dans le public sur la partie la plus intense, et m'a frôlée au passage (j'assiste au concert au premier rang, sans crash barrière…) 
Parmi les influences du groupe, le programme cite Noir Désir, Dominique A, Talking Heads ou Arcade Fire. C'est Dominique A qui est le plus évident à mes yeux (et mes oreilles), c'est flagrant sur certaines chansons. Le concert se poursuit, je suis totalement conquise. En fin de concert arrive Solarium, que Pierre Guénard interprète en bord de scène, au plus près du public. Lorsqu'il plonge ses yeux dans les miens, je sens la chaleur du solarium inonder mes joues, j'ai soudain 15 ans, je suis totalement sous le charme… Le concert s'achève sur 23 minutes, j'ai passé un excellent moment, je crois que je ne m'étais pas pris une telle claque scénique depuis mon tout premier concert de Cali en 2006. Assurément, je les reverrai, l'histoire entre eux et moi ne fait que commencer ! 
La setlist au complet (j'ai pu la photographier donc… liste exhaustive, et dans l'ordre) : New York, Selon l'inclinaison, Bleu nuit/Synesthésie, L'éclaireur, Ces garçons-là, La route, La sueur et le sang, Prières perdues, Bouquet d'immortelles, Ce qui nous fume (chanson sur laquelle, c'est le cas de le dire, ils mettent le feu), La traversée, Au loin les pyramides, Les moissons, Lonely boy (reprise de The Black Keys), Fini fini fini et, en rappel, Nocturama, Solarium et 23 minutes.
Si le groupe est pour le moment peu prisé par les médias, quelque chose me dit que l'on n'a pas fini d'entendre parler de ces garçons-là !

Et pour illustrer mon propos, voici une vidéo de Prières perdues en live (vidéo officielle)

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6 mai 2019 1 06 /05 /mai /2019 22:18

Birds on a wire, par Rosemary Standley et Dom La Nena, au Palace de Montataire le 29 mars 2019. Un spectacle pour deux voix, un violoncelle et quelques percussions, qui nous emmène de Brel à Pink Floyd en passant par Léonard Cohen, du séga réunionnais ou des chants traditionnels espagnols ou bretons, avec même une chanson pour aspirateur ! Les artistes chantent en français, anglais, mais aussi en espagnol, italien ou créole, et la superbe voix de Rosemary Standley, mariée au violoncelle de Dom La Nena, nous offre quelques moments de grâce, tant c'est beau à écouter.
Parmi les chansons interpréter, on peut notamment citer Sur la place de Jacques Brel, Who by fire de Leonard Cohen ou encore Wish you were here des Pink Floyd.
Deux grandes dames en toute simplicité qui nous on offert une magnifique soirée.

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6 mai 2019 1 06 /05 /mai /2019 21:05

Feu ! Chatterton à la Faïencerie de Creil le 23 mars 2019.
En première partie, Weekend Affair. Ce duo est formé de Louis Aguilar et Cyril Debarge a sorti en 2018 l'album Du rivage, produit par Yuksek et arrangé par Albin de La Simone (rien que ça !) Ils nous proposent des chansons en français, sur fond de musique électro qui pulse fort (et me fera mettre les bouchons d'oreille), mais agréable à écouter bien que cela ne soit a priori pas mon univers, probablement en raison justement du chant en français et de la très jolie voix, puissante et bien timbrée, de Louis Aguilar. Il faudra que je me penche sur leurs chansons en version studio pour les découvrir autrement, mais j'ai plutôt bien aimé. Et, je trouve qu'ils convenaient à merveille en première partie de Feu ! Chatterton avec notamment un timbre de voix assez proche et un univers s'harmonisant très bien avec celui de L'oiseleur.

Arrive ensuite Feu ! Chatterton. Bien qu'ayant écouté au moins une fois leur dernier album, je connais peu leur répertoire en dehors de La Malinche et Ginger. Mais j'aime le timbre chaud puissant d'Arthur Teboul et la puissance de son chant. Entre deux titres, il part dans des élucubrations philosophiques que j'ai parfois du mal à suivre, je pense qu'elles sont plus accessibles à ceux qui connaissent davantage son répertoire, puisqu'elles présentent les chansons. Le concert est un bon moment, exit cette fois les bouchons d'oreille malgré un son qui reste teinté d'électro mais y mêle aussi toute une orchestration riche. Les jeux de lumière sont beaux et travaillés, et le concert s'achève dans une ambiance de feu (c'est le cas de le dire) avec le public debout et qui danse.

J'ai donc passé une très bonne soirée, tout en ayant osé me frotter à un répertoire et un style musical qui ne me sont pas forcément familiers, et je suis sortie du concert convaincue et enthousiaste.

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6 mai 2019 1 06 /05 /mai /2019 20:37

Double plateau le 1er mars au Palace de Montataire avec La visite, par Michel Avalon sur le répertoire de Georges Brassens, et Dames Brunes, par Natasha Bezriche reprenant les chansons de Barbara.

C'est Michel Avalon qui ouvre la soirée. Il débute par Le modeste, titre peu connu de Georges Brassens, qu'il déclame à la façon d'un poème, accompagné à l'accordéon par Dorine Duchez, nous permettant ainsi de découvrir toute l'étendue de ce texte.
Il revisite le répertoire de Brassens à sa façon, et mêle grands classiques et titres moins connus qu'il nous permet ainsi de découvrir. Il y a quelqu'un chose d'un peu "étrange" d'entendre Brassens chanté par quelqu'un qui a une voix totalement différente et avec bien plus de nuances (avec parfois, à mon goût, un peu trop d'emphase pour ce répertoire).
Parmi les titres interprétés, j'ai bien aimé La légende de la nonne, Saturne, très belle, La complainte des filles de joie en duo avec Dorine Duchez qui a une très jolie voix. Pour la Chanson pour l'Auvergnat, il interprète le premier couplet en wallon, à la manière de Julos Beaucarne. Il interprète également Le gorille, Le nombril des femmes d'agent, La marine, La cane de Jeanne, un texte de Paul Fort, Lèche-cocu, La messe au pendu… Le vieux Léon est joué à l'accordéon par Dorine Duchez. 
Le spectacle se termine par une vraie conclusion, qui clôt le spectacle, si je me souviens bien, en résonnance avec son ouverture, mais je ne me souviens plus de quelle façon.

Vient ensuite le tour de Natasha Bezriche, qui ouvre son set par A mourir pour mourir. Dans les passages en douceur, on remarque une certaine similitude entre sa voix et celle de Barbara. Parfois elle envoie davantage, vit les chansons à sa manière, qui n'est pas toujours en accord avec ma sensibilité, mais c'est globalement beau. Elle nous interprète de nombreux titres parmi lesquels L'amoureuse, chanson que j'adore et qu'elle fait joliment, Drouot (que j'aime beaucoup aussi), Joyeux Noël, Cet enfant-là (chanson que je ne connaissais pas mais que j'ai beaucoup aimée), Mes hommes, Nantes (très belle), La solitude, Perlimpinpin, Dis, quand reviendras-tu ? ou encore Quand ceux qui vont. 
Les arrangements au piano, signés Stéphane Jaudon, sont très beaux.

Nous avons donc eu droit à une belle soirée en hommage à deux grands artistes.

 

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